- Le vent au compte goutte disperse
ce qui est resté dans l’air
d’une nuit fraîche à travers la galerie.
Très prometteur.
..
Après-midi, il a tut dispersé
nous redescendons au point de départ.
Cela occupe les jours.
.
Et de quoi allons-nous remplir nos estomacs
ou encore nos têtes vides?
J’attends dans la porche
devant une porte fermée.
.
.
- Derrière moi, la porte se ferme:
me voilà dans la porche, en attendant
un instant.
.
La chaleur vacillante s’est substituée
à la maison fraîche.
.
Ici, aucun vent ne disperse l’air
prenant à la gorge à travers la galerie.
.
La journée s’arrête.
Mon estomac n’a besoin de rien,
ma tête encore moins.