Pour Amber-Helena Reisig
Il tarde à venir un instant,
gît
en avant-garde
jusqu’à ce qu’il tombe et
nous trébuchons.
Nous sommes les patrons silencieux
tant de pieds
qui continuent de traîner.
Nous mettons la bâche au vent,
battons en retraite
tout en tenant une vieille promesse.
Le pro mille
ne nous avance à rien,
nous dépasse.