À topos d’un comte et d’une comtesse

Septembre le mois le plus insensible
dans le calme et le repos
règne sur la fin de l’été.

Avril le mois le plus fauve,
je suis né en mars.

La moitié de l’année,
mes chevaux pâturent
en fauves leur île colmatée.

En septembre, nous comptons
les épaves arrosées de pluie,
jetées sur le rivage
de cette île nordique.

Laisser un commentaire