Souvent je me levais,
quasi chaque jour,
parmi les humains.
Parfois sans eux.
.
Une carotte à portée de main.
Le bâton, en nous frappant,
la vie dure,
je me retirais à nouveau,
loin des humains.
.
L’un devient un ton,
un autre grain de sable.
Nous restons ainsi égaux à nous-mêmes,
dans une répétition minimale
jusqu’à tomber dans notre coin ardent