De temps à autre, peu autre,
sans regret, je pense à toi.
D’accord, à présent je m’en rends compte,
bien que trop tard,
que j’aurais dû te maltraiter.
.
J’aurais dû te lier mains et pieds,
tout en déchirant le peu de vêtements
que tu portais sur ton corps si désirable.
.
Ensuite, j’aurais pris le fouet
pour dessiner des traces
dans ta peau splendide
jusqu’à ce que tu sois mouillée.
.
De temps à autre, je t’aurais tamponnée
pour te coller aux fesses.
.
Rien de tout cela, par contre :
tu es devenue folle et bénéficies
dans ce chef malade
d’une allocation fixe sans relation stable.