Une brise de bavarlangue

Vijfstraten compte par force

un grand carrefour

à côté d’un Carrefour d’Alma.

 

On en laisse un, l’autre, voire tout

de côté, jusqu’à

nous marchons sous la voie ferrée jusqu’à

un banc.

 

Nous nous asseyons, nous buvons,

parlons de quatre-vingt-dix-neuf à

une centaine de choses et autres.

 

Nous gardons le saut du virus

dans l’œil, hors du cœur, hors des poumons.

 

Une amitié ensoleillée.

Pas une brise.