Que veut l’homme sinon disparaître (source inconnue)
Lié au poteau
de pied ferme cloué,
les oreilles bouchées,
j’échappe aux chants
sans toutefois me délivrer
du chant qui me remplit à l’intérieur,
débordant dans mes rêves et écritures.
Voussoir ma chair
je la voudrais,
qu’ensuite tu garnis de tes épices,
de sorte que je me retrouve en toi,
me frottant m’ayant frotti à ta table