Vous me direz que rien n’est jamais ce qu’il resemble, voire parfois cela ne ressemble à rien. Quelques rares fois il est ce qu’il ressemble. D’accord, vous me reprocherez être prétentieux et que je me prends trop au sérieux; humblement, j’assume ces reproches. Il y a pire à supporter. Toutefois, mardi le 28 avril 2015 se grave dans la mémoire de l’histoire de l’art. D’accord, vous aurez pu y participer, bien que le nombre de places était limité. Et personne ne sait exactement comme le jaune peut être dangereux, mais le danger est écarté.
À Deinze, à la librairie avec bar à café Letters & Co les éditions L’oeil, donc ont présenté une dizaine de poèmes accompagnés de trois images et d’un jeu de piano rare. Voici:
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Boekvoorstelling door William Ploegaert vanavond om 20u.
L’Oeil, donc ed. stelt voor:
‘Hoe gevaarlijk geel/ Comme le jaune dangereux’
Een multimediale avond rond de presentatie van de gelijknamige bibliofiele map met gedichten van Marc Tiefenthal, beelden van William Ploegaert en onder muzikale begeleiding van Koen Desimpelaere.
Si vous avez été nombreux à avoir difficile à vous imaginer quoi que ce soit en lisant cela, les courageux qui sont venus ont été comptés, les autres rejetés, ayant tort plus que jamais. Vous pouvez d’ailleurs voir et écouter photos et fragment audio pour vous en rendre compte.
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En tout cas, moi j’en était bouleversé de telle sorte que le voyage de retour en voiture était dangereux, bien que personne ne l’ait remarqué. Et puis, j’avoue: pour la première fois, j’ai permis qu’un poème de ma main soit accompagné par un morceau du grand Johan Sebast Bach. Et du coup, le voilà enfin à sa place parmi les grands du jazz.
profonde-lalangue 