Nous pénétrons
dans l’espace du songe.
J’ai beau te monter,
jamais je ne deviens ton étrille.
J’ai même beau te grimper,
jamais je n’arrive à ta crête qui brille.
Des fois nos pieds créent le scandale
quand nous les prenons. Ciel !
Alors que nos mains ne suffissent pas,
se cachant dans une seule respiration.