Un arbre, ni coq ni âne,
prend soin de son âme.
Y saute un pinceau
ou encore un homme – oiseau.
Ils sauvegardent notre jeunesse,
ni d’une poule, ni d’une ânesse,
empêchant notre tronc
de prendre folie ou poltron.
Vois-tu ce gros tronc ?
La forme le ronge,
la vase d’un mauvais songe.
Vois-tu cette fine branche ?
Elle a une belle jambe bien blanche.