Depuis le mois d’octobre, tout le monde se précipite pour fêter la Saint Nicolas et se plaindre de ses compères Fouettards car trop noirs. Puis, avant même l’arrivée de Saint-Nicolas, tout le monde se précipite pour fêter Noël proprement et traîne des sapins de Noël ici et là. Pourquoi se presser ? Vous ne voulez pas savoir. Nous nous dépêcherons donc de faire un bilan annuel.
Les États-Unis, en l’occurrence de l’Amérique, ont été confrontés à deux défis en 2020 : la pandémie et les élections. Poutine gagnera-t-il ou resteront-t-ils une démocratie ? Vous voyez, les enjeux étaient importants. Le virus a gagné, Poutine a perdu.
En 2020, le royaume de Belgique devait faire face à deux défis : la pandémie et la formation d’un gouvernement fédéral. Avec ou sans le PvdP, parti du Pezewever, également connu sous le nom de NV/A. C’est sans. Le PvdP a perdu, le virus a gagné.
Comme vous pouvez déjà le constater, l’avenir ne sera pas tout de suite brillant, mais seulement à moitié moins difficile.
Dans d’autres pays, regardez la France, regardez les Pays-Bas, ils n’ont pas la moitié des plaies américaines et belges. Et pourtant, ils y pleurnichent plus que partout ailleurs. Arrêtez de pleurer, Poutine, Pezewever, la ligue contre le devoir de porter des masques protecteurs buccaux et tutti quanti.
La kotmadam a également perdu, mais ceci entre parenthèses.
Une fin d’année bien folle, voilà ce que nous vous souhaitons.
profonde-lalangue 