Un chant si bref d’un voyage si long

épee, ô acier, mon ciel!
Je te supporte si longtemps
que ton poids m’est agréable.

Je te vois parfois un bleu du ciel
qui tel l’acier fait mal aux yeux.

Si je te supporte, c’est qu’il m’a été promis
de toucher le satin voire la soie
de la bien-aimée.

Julie Margaret Cameron wederhelft

Laisser un commentaire