Biodiversité et politique et fiction au Maroc

La biodiversité des autoroutes du Maroc n’est pas l’effet d’une politique. Ici, on appelle cela une stratégie, car politique équivaut mensonge. On y voit beaucoup d’espèces étrangères à l’environnement, tels des piétons et, phénomène plus récent, des vélo cyclistes. J’ai même vu un piéton prêt à traverser l’autoroute ….. sous une passerelle construite justement pour éviter que cette espèce prenne l’autoroute.

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Le degré de présence d’œuvres de fiction au sein des ménages n’a pas fort évolué au Maroc. Une rare fois on y voit un dictionnaire. La fiction, par contre, a toujours lieu comme avant. Ces jours-ci, il circule une fiction qui se trouve sur toutes les langues de la région Béni Mellal – Tadla. Un individu, masqué ou pas, les versions diffèrent, tuerait des femmes avec une machette. Il aurait commencé son ‘travail’ à Sidi Bennour, à presque 300 km d’ici. Se déplace-t-il en vélo, en autocar ou en voiture ? Il aurait tué dans la région, ici donc.

Ensuite, après une intervention des forces de l’ordre, sans que l’on en trouve trace dans les médias, et appuyé par des images diffusées sur Facebook, il s’agirait d’une bande organisée, style Daesh, le califat quoi, qui voudrait semer la terreur au Maroc. Et l’individu ou les individus se cacheraient dans des champs de maïs.

Dès que la police arrête une personne, c’est lui, bien sûr.

 

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Personne ne trouve qu’il faut stimuler la lecture de fiction.